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SAINT-LOUIS des FRANÇAIS - LISBONNE

Dernière minute

Horaires de la semaine sainte:

  • Dimanche des Rameaux 24 mars:  Messe Unique à 10h 15  (bénédiction des Rameaux à St-Louis puis procession jusqu’à l’église St-Dominique) 
  • Jeudi Saint 28 mars  : Messe de la sainte Cène à 20h 15
  • Vendredi Saint 29 mars - Chemin de croix à 10h 30
  • Vendredi Saint 29 mars - Office de la Passion à 15h 00
  • Vigile Pascale 30 mars : Messe à 21h 
  • Dimanche de Pâques 31 mars  : Messe à 11h 15

Évangile du jour

  • Acclamation : (cf. Ph 2, 8-9)

    Le Christ s’est anéanti,
    prenant la condition de serviteur.

    Pour nous, le Christ est devenu obéissant,
    jusqu’à la mort, et la mort de la croix.
    C’est pourquoi Dieu l’a exalté :
    il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom.
    Le Christ s’est anéanti,
    prenant la condition de serviteur.

    La Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Jean

    Indications pour la lecture dialoguée : les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants :
    X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages.

     

    L. En ce temps-là,
    après le repas,
    Jésus sortit avec ses disciples
    et traversa le torrent du Cédron ;
    il y avait là un jardin,
    dans lequel il entra avec ses disciples.
    Judas, qui le livrait, connaissait l’endroit, lui aussi,
    car Jésus et ses disciples s’y étaient souvent réunis.
    Judas, avec un détachement de soldats
    ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens,
    arrive à cet endroit.
    Ils avaient des lanternes, des torches et des armes.
    Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver,
    s’avança et leur dit :
    X « Qui cherchez-vous? »
    L. Ils lui répondirent :
    F. « Jésus le Nazaréen. »
    L. Il leur dit :
    X « C’est moi, je le suis. »
    L. Judas, qui le livrait, se tenait avec eux.
    Quand Jésus leur répondit : « C’est moi, je le suis »,
    ils reculèrent, et ils tombèrent à terre.
    Il leur demanda de nouveau :
    X « Qui cherchez-vous? »
    L. Ils dirent :
    F. « Jésus le Nazaréen. »
    L. Jésus répondit :
    X « Je vous l’ai dit : c’est moi, je le suis.
    Si c’est bien moi que vous cherchez,
    ceux-là, laissez-les partir. »

    L. Ainsi s’accomplissait la parole qu’il avait dite :
    « Je n’ai perdu aucun
    de ceux que tu m’as donnés. »
    Or Simon-Pierre
    avait une épée ; il la tira,
    frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite.
    Le nom de ce serviteur était Malcus.
    Jésus dit à Pierre :
    X « Remets ton épée au fourreau.
    La coupe que m’a donnée le Père,
    vais-je refuser de la boire ? »

    L. Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs
    se saisirent de Jésus et le ligotèrent.
    Ils l’emmenèrent d’abord chez Hanne, beau-père
    de Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là.
    Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil :
    « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple. »

    Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre disciple, suivait Jésus.
    Comme ce disciple était connu du grand prêtre,
    il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre.
    Pierre se tenait près de la porte, dehors.
    Alors l’autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre –
    sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte,
    et fit entrer Pierre.
    Cette jeune servante dit alors à Pierre :
    A. « N’es-tu pas, toi aussi, l’un des disciples de cet homme ? »
    L. Il répondit :
    D. « Non, je ne le suis pas ! »
    L. Les serviteurs et les gardes se tenaient là ;
    comme il faisait froid,
    ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer.
    Pierre était avec eux, en train de se chauffer.
    Le grand prêtre interrogea Jésus
    sur ses disciples et sur son enseignement.
    Jésus lui répondit :
    X « Moi, j’ai parlé au monde ouvertement.
    J’ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple,
    là où tous les Juifs se réunissent,
    et je n’ai jamais parlé en cachette.
    Pourquoi m’interroges-tu ?
    Ce que je leur ai dit, demande-le
    à ceux qui m’ont entendu.
    Eux savent ce que j’ai dit. »

    L. À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus,
    lui donna une gifle en disant :
    A. « C’est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! »
    L. Jésus lui répliqua :
    X « Si j’ai mal parlé,
    montre ce que j’ai dit de mal.
    Mais si j’ai bien parlé,
    pourquoi me frappes-tu ? »

    L. Hanne l’envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe.

    Simon-Pierre était donc en train de se chauffer.
    On lui dit :
    A. « N’es-tu pas, toi aussi, l’un de ses disciples ? »
    L. Pierre le nia et dit :
    D. « Non, je ne le suis pas ! »
    L. Un des serviteurs du grand prêtre,
    parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille,
    insista :
    A. « Est-ce
    que moi, je ne t’ai pas vu
    dans le jardin avec lui ? »
    L. Encore une fois, Pierre le nia.
    Et aussitôt un coq chanta.

    Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire.
    C’était le matin.
    Ceux qui l’avaient amené n’entrèrent pas dans le Prétoire,
    pour éviter une souillure
    et pouvoir manger l’agneau pascal.
    Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda :
    A. « Quelle accusation portez-vous
    contre cet homme ? »
    L. Ils lui répondirent :
    F. « S’il n’était pas un malfaiteur,
    nous ne t’aurions pas livré cet homme. »
    L. Pilate leur dit :
    A. « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le
    suivant votre loi. »
    L. Les Juifs lui dirent :
    F. « Nous n’avons pas le droit
    de mettre quelqu’un à mort. »
    L. Ainsi s’accomplissait la parole que Jésus avait dite
    pour signifier de quel genre de mort il allait mourir.
    Alors Pilate rentra dans le Prétoire ;
    il appela Jésus et lui dit :
    A. « Es-tu le roi des Juifs ? »
    L. Jésus lui demanda :
    X « Dis-tu cela de toi-même,
    Ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? »

    L. Pilate répondit :
    A. « Est-ce que je suis juif, moi ?
    Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi :
    qu’as-tu donc fait ? »
    L. Jésus déclara :
    X « Ma royauté n’est pas de ce monde ;
    si ma royauté était de ce monde,
    j’aurais des gardes qui se seraient battus
    pour que je ne sois pas livré aux Juifs.
    En fait, ma royauté n’est pas d’ici. »

    L. Pilate lui dit :
    A. « Alors, tu es roi ? »
    L. Jésus répondit :
    X « C’est toi-même
    qui dis que je suis roi.
    Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci :
    rendre témoignage à la vérité.
    Quiconque appartient à la vérité
    écoute ma voix. »

    L. Pilate lui dit :
    A. « Qu’est-ce que la vérité ? »
    L. Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs,
    et il leur déclara :
    A. « Moi, je ne trouve en lui
    aucun motif de condamnation.
    Mais, chez vous, c’est la coutume
    que je vous relâche quelqu’un pour la Pâque :
    voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? »
    L. Alors ils répliquèrent en criant :
    F. « Pas lui !
    Mais Barabbas ! »
    L. Or ce Barabbas était un bandit.

    Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu’il soit flagellé.
    Les soldats tressèrent avec des épines une couronne
    qu’ils lui posèrent sur la tête ;
    puis ils le revêtirent d’un manteau pourpre.
    Ils s’avançaient vers lui
    et ils disaient :
    F. « Salut à toi, roi des Juifs ! »
    L. Et ils le giflaient.

    Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit :
    A. « Voyez, je vous l’amène dehors
    pour que vous sachiez
    que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. »
    L. Jésus donc sortit dehors,
    portant la couronne d’épines et le manteau pourpre.
    Et Pilate leur déclara :
    A. « Voici l’homme. »
    L. Quand ils le virent,
    les grands prêtres et les gardes se mirent à crier :
    F. « Crucifie-le! Crucifie-le! »
    L. Pilate leur dit :
    A. « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ;
    moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. »
    L. Ils lui répondirent :
    F. « Nous avons une Loi,
    et suivant la Loi il doit mourir,
    parce qu’il s’est fait Fils de Dieu. »
    L. Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte.
    Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus :
    A. « D’où es-tu? »
    L. Jésus ne lui fit aucune réponse.
    Pilate lui dit alors :
    A. « Tu refuses de me parler, à moi ?
    Ne sais-tu pas que j’ai pouvoir de te relâcher,
    et pouvoir de te crucifier ? »
    L. Jésus répondit :
    X « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi
    si tu ne l’avais reçu d’en haut ;
    c’est pourquoi celui qui m’a livré à toi
    porte un péché plus grand. »

    L. Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ;
    mais des Juifs se mirent à crier :
    F. « Si tu le relâches,
    tu n’es pas un ami de l’empereur.
    Quiconque se fait roi
    s’oppose à l’empereur. »
    L. En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors;
    il le fit asseoir sur une estrade
    au lieu dit le Dallage
    – en hébreu : Gabbatha.
    C’était le jour de la Préparation de la Pâque,
    vers la sixième heure, environ midi.
    Pilate dit aux Juifs :
    A. « Voici votre roi. »
    L. Alors ils crièrent :
    F. « À mort ! À mort !
    Crucifie-le ! »
    L. Pilate leur dit :
    A. « Vais-je crucifier votre roi ? »
    L. Les grands prêtres répondirent :
    F. « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. »
    L. Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié.

    Ils se saisirent de Jésus.
    Et lui-même, portant sa croix,
    sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire),
    qui se dit en hébreu Golgotha.
    C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui,
    un de chaque côté, et Jésus au milieu.
    Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ;
    il était écrit :
    « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. »
    Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau,
    parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville,
    et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec.
    Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate :
    F. « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais :
    “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.” »
    L. Pilate répondit :
    A. « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. »

    L. Quand les soldats eurent crucifié Jésus,
    ils prirent ses habits ;
    ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat.
    Ils prirent aussi la tunique ;
    c’était une tunique sans couture,
    tissée tout d’une pièce de haut en bas.
    Alors ils se dirent entre eux :
    A. « Ne la déchirons pas,
    désignons par le sort celui qui l’aura. »
    L. Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture :
    Ils se sont partagé mes habits ;
    ils ont tiré au sort mon vêtement.

    C’est bien ce que firent les soldats.

    Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère
    et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas,
    et Marie Madeleine.
    Jésus, voyant sa mère,
    et près d’elle le disciple qu’il aimait,
    dit à sa mère :
    X « Femme, voici ton fils. »
    L. Puis il dit au disciple :
    X « Voici ta mère. »
    L. Et à partir de cette heure-là,
    le disciple la prit chez lui.
    Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé
    pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout,
    Jésus dit :
    X « J’ai soif. »
    L. Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée.
    On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre
    à une branche d’hysope,
    et on l’approcha de sa bouche.
    Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit :
    X « Tout est accompli. »
    L. Puis, inclinant la tête,
    il remit l’esprit.

    (Ici on fléchit le genou, et on s’arrête un instant.)

    Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi),
    il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat,
    d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque.
    Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps
    après leur avoir brisé les jambes.
    Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier,
    puis de l’autre homme crucifié avec Jésus.
    Quand ils arrivèrent à Jésus,
    voyant qu’il était déjà mort,
    ils ne lui brisèrent pas les jambes,
    mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ;
    et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau.
    Celui qui a vu rend témoignage,
    et son témoignage est véridique ;
    et celui-là sait qu’il dit vrai
    afin que vous aussi, vous croyiez.
    Cela, en effet, arriva
    pour que s’accomplisse l’Écriture :
    Aucun de ses os ne sera brisé.
    Un autre passage de l’Écriture dit encore :
    Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé.

    Après cela, Joseph d’Arimathie,
    qui était disciple de Jésus,
    mais en secret par crainte des Juifs,
    demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus.
    Et Pilate le permit.
    Joseph vint donc enlever le corps de Jésus.
    Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant
    la nuit – vint lui aussi ;
    il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès
    pesant environ cent livres.
    Ils prirent donc le corps de Jésus,
    qu’ils lièrent de linges,
    en employant les aromates
    selon la coutume juive d’ensevelir les morts.
    À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin
    et, dans ce jardin, un tombeau neuf
    dans lequel on n’avait encore déposé personne.
    À cause de la Préparation de la Pâque juive,
    et comme ce tombeau était proche,
    c’est là qu’ils déposèrent Jésus.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

Intention de prière : Pour les médecins et les humanitaires présents dans les zones de combat

Prions pour les médecins et les humanitaires présents dans les zones de combat qui risquent leur vie pour sauver celle des autres.

Dans de nombreuses parties du monde, des populations sont prises au piège dans des zones de conflit et ont besoin de soins. Seigneur, nous te rendons grâce pour les hommes et les femmes qui leur viennent en aide, avec un savoir-faire et une abnégation qui interpellent notre conscience. Toi qui as risqué ta vie pour nous et qui as vaincu les ténèbres, donne-leur force et espérance dans ces situations de danger.

Editorial par le Père Daniel Régent, Directeur national du Réseau Mondial de Prière du Pape

ILS RISQUENT LEUR VIE !

Des médecins et humanitaires se rendent dans les zones de combat, pour secourir les vies en danger. Leur engagement remarquable interroge. Pourquoi font-ils cela ? Les raisons qui peuvent être données sont propres à chacun. Elles ne seront jamais à la hauteur pour rendre compte pleinement des actions entreprises qui sont des lumières pour l’humanité entière.

Chrétien, je ne peux pas ne pas penser au Christ qui, envoyé par le Père et en communion avec lui, s’est incarné pour venir au secours de l’humanité. Il savait que le prix à payer serait celui de sa vie. Cela ne l’a pas arrêté. C’est le propre de Dieu de se donner et de se donner totalement dans son acte de création. La recréation par le Salut est l’aboutissement de la Création. Dans cette perspective, je peux comprendre que des chrétiens, pour ressembler davantage à leur Seigneur, se lancent par amour fou au secours de leurs frères et sœurs en péril, au risque de leur vie.

Bien des humanitaires n’ont pas cette référence au Christ pour éclairer leur action. Certains ne le connaissent pas. Par respect pour eux, je n’ai pas à leur imposer cette référence si elle n’est pas la leur. A mes yeux, la valeur de leur geste n’est pas moindre, au contraire même, car je n’ai plus d’explication facile. Leur geste dépasse toute mesure. Cela me ravit et pour une part me confond, moi qui, chrétien, aurais de bonnes raison pour en faire autant. Pour agir ainsi, il faut une détermination et une humanité chevillées au corps. Si la mesure de l’homme dépasse l’homme, alors elle est de se transcender. Se transcender ? Si les images de superman peuvent au départ habiter le désir d’un candidat à l’héroïsme, on peut penser qu’elles seront rapidement mises à mal dans les lieux d’épreuve. Que restera-t-il alors ? La découverte d’une humanité commune partagée ? Car si une communion s’établit avec les personnes secourues, les images de supériorité, de générosité céderont la place à cette rencontre. Le prix de cette relation se dévoile dans ce partage fragile. La vie de l’homme porte en elle une valeur infinie qui se révèle pleinement dans la rencontre. Elle n’appartient ni à l’un, ni à l’autre, elle surgit comme quelque chose d’improbable.

L’humanité véritable n’est pas dans une sortie de soi spectaculaire, mais dans une sortie qui conduit chacun à l’intérieur, dans la reconnaissance que la vie est donnée aux uns comme aux autres et que c’est en la donnant qu’elle se révèle pleinement, commune et cependant unique pour chacun. Les médecins et humanitaires ne prendront pas la place des personnes secourues. Ils continueront leur chemin. Merci à eux de prendre soin de notre humanité par l’exemple qu’ils donnent.

Daniel Régent sj, directeur national

 


 

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Messe en français tous les dimanches à 11h15.

Lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi: messe à 18h30.

Les confessions sont proposées chaque jour après la messe sur demande.


L'église se trouve au croisement de Rua das Portas de Santo Antão et Beco São Luís da Pena, près de la salle de spectacle "le Coliseu", Metro, Bus et Parking auto : Restauradores. L'accès au rectorat se fait sur le côté de l'église.

Père Hubert de Balorre

Recteur: Père Hubert de Balorre

  +351 915 234 730

 


Église Saint-louis des Français, Beco São Luis da Pena, 34, 1150-336 Lisboa ou par email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

  +351 213 425 821