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SAINT-LOUIS des FRANÇAIS - LISBONNE

Dernière minute

Horaires de la semaine sainte:

  • Dimanche des Rameaux 24 mars:  Messe Unique à 10h 15  (bénédiction des Rameaux à St-Louis puis procession jusqu’à l’église St-Dominique) 
  • Jeudi Saint 28 mars  : Messe de la sainte Cène à 20h 15
  • Vendredi Saint 29 mars - Chemin de croix à 10h 30
  • Vendredi Saint 29 mars - Office de la Passion à 15h 00
  • Vigile Pascale 30 mars : Messe à 21h 
  • Dimanche de Pâques 31 mars  : Messe à 11h 15

Évangile du jour

  • Acclamation : (cf. Is 61, 1)

    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus !
    L’Esprit du Seigneur est sur moi :
    il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres.
    Gloire et louange à toi, Seigneur Jésus !

    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

    En ce temps-là,
    Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé.
    Selon son habitude,
    il entra dans la synagogue le jour du sabbat,
    et il se leva pour faire la lecture.
    On lui remit le livre du prophète Isaïe.
    Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit :
    L’Esprit du Seigneur est sur moi
    parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction.
    Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres,
    annoncer aux captifs leur libération,
    et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue,
    remettre en liberté les opprimés,
    annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.

    Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit.
    Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui.
    Alors il se mit à leur dire :
    « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture
    que vous venez d’entendre. »

    – Acclamons la Parole de Dieu.

La prière du Notre Père, un regard renouvelé

A l’occasion de l’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Notre Père dans toute forme de liturgie, la Conférence des évêques de France publie « La prière du Notre Père. Un regard renouvelé Â». Dans cet ouvrage, préfacé par Mgr Guy de Kérimel, huit évêques commentent chacun un des versets du Notre Père.

Préface : « La prière du Notre Père Â»

La prière du Notre Père est au cÅ“ur de la relation que le Christ est venu instaurer entre l’humanité et Dieu.

C’est Dieu qui a pris l’initiative de venir à la rencontre de l’être humain. De bien des manières Il nous a parlé, comme le dit le prologue de l’épitre aux Hébreux, et particulièrement en nous envoyant son Fils Unique. Il a voulu entrer en dialogue avec nous et nous réconcilier avec Lui par Jésus Christ, afin de nous faire communier à sa propre vie. Par ses paroles et ses actions, et surtout par sa mort et sa résurrection, Jésus a fait de ceux qui croient en Lui des fils et des filles de Dieu, son Père et notre Père. De toute éternité, Dieu a voulu faire de nous des fils adoptifs, en son Fils et par Lui. C’est Lui qui nous conduit vers le Père.

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L'église se trouve au croisement de Rua das Portas de Santo Antão et Beco São Luís da Pena, près de la salle de spectacle "le Coliseu", Metro, Bus et Parking auto : Restauradores. L'accès au rectorat se fait sur le côté de l'église.

 

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O construtor da escola portuguesa de Órgão

O Professor SIbertin-Blanc foi, sem dúvida, a personalidade mais estruturante da vida organística portuguesa no séc. XX. Parisiense de nascimento, diplomou-se em Órgão e Improvisação sob a orientação de Edouard Souberbielle na Escola César Franck, onde obteve também os diplomas de Direção coral, Canto Gregoriano, Piano e Composição. Estudou ainda com Maurice Duruflé no Conservatório Nacional Superior da capital francesa. Ocupou lugares de organista e mestre de capela nas igrejas de La Madeleine e Saint-Merry, até que em 1956 partiu para o Luxemburgo como titular do órgão da Igreja de Saint-Joseph. Finalmente, em 1960 aceitou o convite de Júlia d’Almendra, fundadora e diretora do Centro de Estudos Gregorianos (CEG), para se radicar em Lisboa e assumir o cargo de professor nesta primeira escola superior de música sacra em Portugal; exerceu essas funções desde janeiro de 1961 até 2000, ano da sua jubilação: primeiro, no CEG, convertido no Instituto Gregoriano de Lisboa (IGL) em 1976 e, após a reforma do ensino artístico de 1983, na Escola Superior de Música de Lisboa (ESML), onde foi integrado o curso superior de Órgão do IGL. Mas vejamos, antes de mais, o contexto da vida organística portuguesa no séc. XX e da fundação do CEG.

1. O ensino de Órgão na 1.ª metade do séc. XX

A classe de Órgão começou a funcionar quase um século após a fundação do Conservatório (CN). Anunciada na reforma de 1898, a “Aula de Órgão” viria a ser criada em 1901 pelo Decreto de 24 de outubro, na remodelação curricular presidida por Augusto Machado que, para iniciar a lecionação, contratou em 1905[i] um reputado compositor e organista belga – Desiré Paque –, também Mestre da Capela Real e professor do Príncipe D. Luís Filipe. No entanto, depois de quatro anos de ensino de uma disciplina designada mais frequentemente por Acompanhamento, este professor retirou-se sem que ficasse constituída uma classe de Órgão.

Seria após a reforma de 1930 que, na sequência da compra do órgão do salão[ii], se deu início efetivo ao ensino de Órgão, no ano letivo de 1933-34, contratando o prof. Edouard Chambon, também de nacionalidade belga. Dois anos mais tarde, sucedeu-lhe Filipe Rosa de Carvalho, que se manteve no cargo até 1950[iii].

2. Os ventos de mudança nos meados do século.

O projeto de Júlia d’Almendra

Após a saída de Filipe Rosa de Carvalho, o CN faz uma séria aposta na renovação da classe de Órgão e da própria música litúrgica, contratando o jovem organista alemão Karl Heinz Müller, formado pela Escola Superior de Música de Friburgo e pelo Instituto Pontifício de Música Sacra (Roma).

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Dans ces trois lectures je vois qu’il y a quelque chose de commun: c’est le mouvement.

Dans la première lecture le mouvement sur le chemin; dans la deuxième lecture, le mouvement dans l’édification de l’Église; dans la troisième, dans l’Évangile, le mouvement dans la confession. Marcher, édifier, confesser.

Marcher. « Maison de Jacob, allons, marchons à la lumière du Seigneur » (Is 2, 5). C’est la première chose que Dieu a dite à Abraham: Marche en ma présence et sois irrépréhensible. Marcher: notre vie est une marche et quand nous nous arrêtons, cela ne va plus. Marcher toujours, en présence du Seigneur, à la lumière du Seigneur, cherchant à vivre avec cette irréprochabilité que Dieu demandait à Abraham, dans sa promesse.

Édifier. Édifier l’Église. On parle de pierres: les pierres ont une consistance; mais des pierres vivantes, des pierres ointes par l’Esprit Saint. Édifier l’Église, l’Épouse du Christ, sur cette pierre angulaire qui est le Seigneur lui-même. Voici un autre mouvement de notre vie: édifier.

Troisièmement, confesser. Nous pouvons marcher comme nous voulons, nous pouvons édifier de nombreuses choses, mais si nous ne confessons pas Jésus-Christ, cela ne va pas. Nous deviendrons une ONG humanitaire, mais non l’Église, Épouse du Seigneur. Quand on ne marche pas, on s’arrête. Quand on n’édifie pas sur les pierres qu’est ce qui arrive? Il arrive ce qui arrive aux enfants sur la plage quand ils font des châteaux de sable, tout s’écroule, c’est sans consistance. Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, me vient la phrase de Léon Bloy: « Celui qui ne prie pas le Seigneur, prie le diable ». Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, on confesse la mondanité du diable, la mondanité du démon.

Marcher, édifier-construire, confesser. Mais la chose n’est pas si facile, parce que dans le fait de marcher, de construire, de confesser, bien des fois il y a des secousses, il y a des mouvements qui ne sont pas exactement des mouvements de la marche: ce sont des mouvements qui nous tirent en arrière.

Cet Évangile poursuit avec une situation spéciale. Le même Pierre qui a confessé Jésus-Christ lui dit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Je te suis, mais ne parlons pas de Croix. Cela n’a rien à voir. Je te suis avec d’autres possibilités, sans la Croix; Quand nous marchons sans la Croix, quand nous édifions sans la Croix et quand nous confessons un Christ sans Croix, nous ne sommes pas disciples du Seigneur: nous sommes mondains, nous sommes des Évêques, des Prêtres, des Cardinaux, des Papes, mais pas des disciples du Seigneur.

Je voudrais que tous, après ces jours de grâce, nous ayons le courage, vraiment le courage, de marcher en présence du Seigneur, avec la Croix du Seigneur; d’édifier l’Église sur le sang du Seigneur, qui est versé sur la Croix; et de confesser l’unique gloire: le Christ crucifié. Et ainsi l’Église ira de l’avant.

Je souhaite à nous tous que l’Esprit Saint, par la prière de la Vierge, notre Mère, nous accorde cette grâce: marcher, édifier, confesser Jésus-Christ crucifié. Qu’il en soit ainsi!

 

Saint_YvesSaint-Yves

 Yves Hélory de Kermartin, ou simplement saint Yves (sant Erwan en breton), est né vers 1250 et mort en 1303. Prêtre du diocèse de Tréguier, il a consacré sa vie à la justice et aux pauvres. Il est le saint patron de toutes les professions de justice et de droit, et également saint patron de la Bretagne.

 Yves Hélory est né dans une famille noble au manoir de Kermartin sur la paroisse de Minihy-Tréguier. À l'âge d'environ 14 ans, il part étudier à Paris, accompagné de son précepteur Jean de Kergoz. Il y fait ses humanités, suivant des cours de théologie à la Sorbonne. Puis il étudie le droit à Orléans dont la faculté est déjà réputée à travers toute l'Europe. Déjà, il se fait remarquer par sa vie de privation en faveur des pauvres. Ses études achevées, il revient travailler en Bretagne, où il devient conseiller juridique du diocèse de Rennes. L'évêque de Tréguier remarque ses talents et le nomme prêtre de son diocèse.

Yves étonne ses paroissiens en prêchant en breton, rendant ainsi accessible au peuple la compréhension de l'Évangile et de son message. Les gens l'apprécient pour sa façon de rendre la justice, il est réputé pour son sens de l'équité qui lui interdit de privilégier le riche sur le pauvre. L'enquête de canonisation nous fournit des témoignages sur ce que fut sa vie et la manière dont les gens le percevaient. Un certain nombre de faits sont ainsi rapportés sur la manière dont Yves Hélory rendait justice.

Ainsi à Rennes, doit-il traiter une affaire opposant un aubergiste à un mendiant. Ce dernier est accusé par le premier d'avoir été pris à rôder autour des cuisines; comme l'aubergiste ne peut l'accuser d'avoir volé de la nourriture, il l'accuse de se nourrir des odeurs de sa cuisine… Le jugement a dû en étonner plus d'un ! Yves Hélory prend quelques pièces dans sa bourse et les jette sur la table devant lui ; l'aubergiste tend la main pour les prendre mais saint Yves retient sa main. L'aubergiste s'exclame : « c'est à moi » Yves lui répond « ah non ! le son paye l'odeur, à cet homme l'odeur de ta cuisine, à toi le son de ces pièces ! ». Saint Yves sera ainsi reconnu par les démunis comme l'avocat qui fait justice aux pauvres et ne tient pas compte de la condition sociale.

On lui prête également des miracles, comme celui d'avoir sauvé des gens de la noyade. Après une vie d'ascèse, de prière et de partage, mangeant très peu et vivant très pauvrement en distribuant ce qu'il a (il ne mangeait que deux œufs le jour de Pâques et tenait table ouverte pour les pauvres en son manoir), Yves Hélory s'éteint le 19 mai 1303. Ses obsèques à la Cathédrale Saint-Tugdual de Tréguier où est érigé son mausolée, sont l'objet d'un faste et d'une ferveur populaire extraordinaire ; pour tous, il devient le « mirouër des ecclésiastiques, avocat et père des pauvres, veuves et orphelins ».

Moins de 50 ans après sa mort, en 1347, le pape Clément VI lui accorde la sainteté. Son culte s'est répandu dans toute l'Europe, jusqu'à Rome où deux églises lui sont dédiées.

Chaque 19 mai, à Tréguier (Côtes d'Armor), lors de la Fête de la Saint-Yves une délégation de ces professions accompagne le pardon à saint Yves qui est une des grandes fêtes religieuses bretonnes, au même titre que le pardon de Sainte-Anne-d'Auray.
 
Pourquoi un autel à Saint Yves en l’église Saint-Louis de Lisbonne ?

Les marins portugais faisaient commerce en Bretagne dès le milieu du 14ème siècle et en 1369 il y avait déjà des marchands bretons établis à Lisbonne. La Bretagne exportait des textiles de lin et de laine, notamment des villes de Guingamp, Josselin et Fougères, et des céréales. Le terme bretanha de linho est ainsi resté synonyme d’un tissu fin de qualité.

Pendant les périodes de crises du 15ème siècle au Portugal, ces céréales étaient essentielles et ainsi, les procureurs de Lisbonne s’opposaient en 1439 à toute entrave à ces produits. Quand les Allemands obtinrent du Roi du Portugal des privilèges, selon la tradition, les chaudronniers bretons pensèrent, les premiers, à organiser une société semblable et réclamer les mêmes faveurs : la confrérie de Saint-Louis était ainsi constituée, il y a 560 ans, en 1452, en réunissant aussi des Lyonnais, Bordelais et Rouennais. La Bretagne fut rattachée à la France 80 ans plus tard, par le traité d’union de 1532.

Jeune contemporain de Saint-Louis (Louis IX, 1214 – 1270), l’autel consacré à Saint Yves symbolise à Lisbonne la contribution des Bretons à cette œuvre commune que nous faisons vivre encore aujourd’hui.

 

 

 

« Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »

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Messe en français tous les dimanches à 11h15.

Lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi: messe à 18h30.

Les confessions sont proposées chaque jour après la messe sur demande.


L'église se trouve au croisement de Rua das Portas de Santo Antão et Beco São Luís da Pena, près de la salle de spectacle "le Coliseu", Metro, Bus et Parking auto : Restauradores. L'accès au rectorat se fait sur le côté de l'église.

Père Hubert de Balorre

Recteur: Père Hubert de Balorre

  +351 915 234 730

 


Église Saint-louis des Français, Beco São Luis da Pena, 34, 1150-336 Lisboa ou par email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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