La prière du Notre Père, un regard renouvelé

A l’occasion de l’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Notre Père dans toute forme de liturgie, la Conférence des évêques de France publie « La prière du Notre Père. Un regard renouvelé Â». Dans cet ouvrage, préfacé par Mgr Guy de Kérimel, huit évêques commentent chacun un des versets du Notre Père.

Préface : « La prière du Notre Père Â»

La prière du Notre Père est au cÅ“ur de la relation que le Christ est venu instaurer entre l’humanité et Dieu.

C’est Dieu qui a pris l’initiative de venir à la rencontre de l’être humain. De bien des manières Il nous a parlé, comme le dit le prologue de l’épitre aux Hébreux, et particulièrement en nous envoyant son Fils Unique. Il a voulu entrer en dialogue avec nous et nous réconcilier avec Lui par Jésus Christ, afin de nous faire communier à sa propre vie. Par ses paroles et ses actions, et surtout par sa mort et sa résurrection, Jésus a fait de ceux qui croient en Lui des fils et des filles de Dieu, son Père et notre Père. De toute éternité, Dieu a voulu faire de nous des fils adoptifs, en son Fils et par Lui. C’est Lui qui nous conduit vers le Père.

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O construtor da escola portuguesa de Órgão

O Professor SIbertin-Blanc foi, sem dúvida, a personalidade mais estruturante da vida organística portuguesa no séc. XX. Parisiense de nascimento, diplomou-se em Órgão e Improvisação sob a orientação de Edouard Souberbielle na Escola César Franck, onde obteve também os diplomas de Direção coral, Canto Gregoriano, Piano e Composição. Estudou ainda com Maurice Duruflé no Conservatório Nacional Superior da capital francesa. Ocupou lugares de organista e mestre de capela nas igrejas de La Madeleine e Saint-Merry, até que em 1956 partiu para o Luxemburgo como titular do órgão da Igreja de Saint-Joseph. Finalmente, em 1960 aceitou o convite de Júlia d’Almendra, fundadora e diretora do Centro de Estudos Gregorianos (CEG), para se radicar em Lisboa e assumir o cargo de professor nesta primeira escola superior de música sacra em Portugal; exerceu essas funções desde janeiro de 1961 até 2000, ano da sua jubilação: primeiro, no CEG, convertido no Instituto Gregoriano de Lisboa (IGL) em 1976 e, após a reforma do ensino artístico de 1983, na Escola Superior de Música de Lisboa (ESML), onde foi integrado o curso superior de Órgão do IGL. Mas vejamos, antes de mais, o contexto da vida organística portuguesa no séc. XX e da fundação do CEG.

1. O ensino de Órgão na 1.ª metade do séc. XX

A classe de Órgão começou a funcionar quase um século após a fundação do Conservatório (CN). Anunciada na reforma de 1898, a “Aula de Órgão” viria a ser criada em 1901 pelo Decreto de 24 de outubro, na remodelação curricular presidida por Augusto Machado que, para iniciar a lecionação, contratou em 1905[i] um reputado compositor e organista belga – Desiré Paque –, também Mestre da Capela Real e professor do Príncipe D. Luís Filipe. No entanto, depois de quatro anos de ensino de uma disciplina designada mais frequentemente por Acompanhamento, este professor retirou-se sem que ficasse constituída uma classe de Órgão.

Seria após a reforma de 1930 que, na sequência da compra do órgão do salão[ii], se deu início efetivo ao ensino de Órgão, no ano letivo de 1933-34, contratando o prof. Edouard Chambon, também de nacionalidade belga. Dois anos mais tarde, sucedeu-lhe Filipe Rosa de Carvalho, que se manteve no cargo até 1950[iii].

2. Os ventos de mudança nos meados do século.

O projeto de Júlia d’Almendra

Após a saída de Filipe Rosa de Carvalho, o CN faz uma séria aposta na renovação da classe de Órgão e da própria música litúrgica, contratando o jovem organista alemão Karl Heinz Müller, formado pela Escola Superior de Música de Friburgo e pelo Instituto Pontifício de Música Sacra (Roma).

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Dans ces trois lectures je vois qu’il y a quelque chose de commun: c’est le mouvement.

Dans la première lecture le mouvement sur le chemin; dans la deuxième lecture, le mouvement dans l’édification de l’Église; dans la troisième, dans l’Évangile, le mouvement dans la confession. Marcher, édifier, confesser.

Marcher. « Maison de Jacob, allons, marchons à la lumière du Seigneur » (Is 2, 5). C’est la première chose que Dieu a dite à Abraham: Marche en ma présence et sois irrépréhensible. Marcher: notre vie est une marche et quand nous nous arrêtons, cela ne va plus. Marcher toujours, en présence du Seigneur, à la lumière du Seigneur, cherchant à vivre avec cette irréprochabilité que Dieu demandait à Abraham, dans sa promesse.

Édifier. Édifier l’Église. On parle de pierres: les pierres ont une consistance; mais des pierres vivantes, des pierres ointes par l’Esprit Saint. Édifier l’Église, l’Épouse du Christ, sur cette pierre angulaire qui est le Seigneur lui-même. Voici un autre mouvement de notre vie: édifier.

Troisièmement, confesser. Nous pouvons marcher comme nous voulons, nous pouvons édifier de nombreuses choses, mais si nous ne confessons pas Jésus-Christ, cela ne va pas. Nous deviendrons une ONG humanitaire, mais non l’Église, Épouse du Seigneur. Quand on ne marche pas, on s’arrête. Quand on n’édifie pas sur les pierres qu’est ce qui arrive? Il arrive ce qui arrive aux enfants sur la plage quand ils font des châteaux de sable, tout s’écroule, c’est sans consistance. Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, me vient la phrase de Léon Bloy: « Celui qui ne prie pas le Seigneur, prie le diable ». Quand on ne confesse pas Jésus-Christ, on confesse la mondanité du diable, la mondanité du démon.

Marcher, édifier-construire, confesser. Mais la chose n’est pas si facile, parce que dans le fait de marcher, de construire, de confesser, bien des fois il y a des secousses, il y a des mouvements qui ne sont pas exactement des mouvements de la marche: ce sont des mouvements qui nous tirent en arrière.

Cet Évangile poursuit avec une situation spéciale. Le même Pierre qui a confessé Jésus-Christ lui dit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Je te suis, mais ne parlons pas de Croix. Cela n’a rien à voir. Je te suis avec d’autres possibilités, sans la Croix; Quand nous marchons sans la Croix, quand nous édifions sans la Croix et quand nous confessons un Christ sans Croix, nous ne sommes pas disciples du Seigneur: nous sommes mondains, nous sommes des Évêques, des Prêtres, des Cardinaux, des Papes, mais pas des disciples du Seigneur.

Je voudrais que tous, après ces jours de grâce, nous ayons le courage, vraiment le courage, de marcher en présence du Seigneur, avec la Croix du Seigneur; d’édifier l’Église sur le sang du Seigneur, qui est versé sur la Croix; et de confesser l’unique gloire: le Christ crucifié. Et ainsi l’Église ira de l’avant.

Je souhaite à nous tous que l’Esprit Saint, par la prière de la Vierge, notre Mère, nous accorde cette grâce: marcher, édifier, confesser Jésus-Christ crucifié. Qu’il en soit ainsi!

 

 


 

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Messe en français tous les dimanches à 11h15.

Lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi: messe à 18h30.

Les confessions sont proposées chaque jour après la messe sur demande.


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Père Hubert de Balorre

Recteur: Père Hubert de Balorre

  +351 915 234 730

 


Église Saint-louis des Français, Beco São Luis da Pena, 34, 1150-336 Lisboa ou par email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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