Lectures du jour

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(c) Association Épiscopale Liturgique pour les pays francophones - 2024
AELF
  1. Lecture du livre de l’Exode

    En ces jours-là,
    Moïse vint rapporter au peuple
    toutes les paroles du Seigneur et toutes ses ordonnances.
    Tout le peuple répondit d’une seule voix :
    « Toutes ces paroles que le Seigneur a dites,
    nous les mettrons en pratique. »
    Moïse écrivit toutes les paroles du Seigneur.
    Il se leva de bon matin et il bâtit un autel au pied de la montagne,
    et il dressa douze pierres pour les douze tribus d’Israël.
    Puis il chargea quelques jeunes garçons parmi les fils d’Israël
    d’offrir des holocaustes,
    et d’immoler au Seigneur des taureaux en sacrifice de paix.
    Moïse prit la moitié du sang et le mit dans des coupes ;
    puis il aspergea l’autel avec le reste du sang.
    Il prit le livre de l’Alliance et en fit la lecture au peuple.
    Celui-ci répondit :
    « Tout ce que le Seigneur a dit,
    nous le mettrons en pratique, nous y obéirons. »
    Moïse prit le sang, en aspergea le peuple, et dit :
    « Voici le sang de l’Alliance
    que, sur la base de toutes ces paroles,
    le Seigneur a conclue avec vous. »

    – Parole du Seigneur.

  2. Refrain psalmique : (115, 13)

    J’élèverai la coupe du salut,
    j’invoquerai le nom du Seigneur.
    ou : Alléluia !

    Comment rendrai-je au Seigneur
    tout le bien qu’il m’a fait ?
    J’élèverai la coupe du salut,
    j’invoquerai le nom du Seigneur.

    Il en coûte au Seigneur
    de voir mourir les siens !
    Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur,
    moi, dont tu brisas les chaînes ?

    Je t’offrirai le sacrifice d’action de grâce,
    j’invoquerai le nom du Seigneur.
    Je tiendrai mes promesses au Seigneur,
    oui, devant tout son peuple.

  3. Lecture de la lettre aux Hébreux

    Frères,
    le Christ est venu, grand prêtre des biens à venir.
    Par la tente plus grande et plus parfaite,
    celle qui n’est pas œuvre de mains humaines
    et n’appartient pas à cette création,
    il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire,
    en répandant, non pas le sang de boucs et de jeunes taureaux,
    mais son propre sang.
    De cette manière, il a obtenu une libération définitive.
    S’il est vrai qu’une simple aspersion
    avec le sang de boucs et de taureaux, et de la cendre de génisse,
    sanctifie ceux qui sont souillés,
    leur rendant la pureté de la chair,
    le sang du Christ fait bien davantage,
    car le Christ, poussé par l’Esprit éternel,
    s’est offert lui-même à Dieu
    comme une victime sans défaut ;
    son sang purifiera donc notre conscience
    des actes qui mènent à la mort,
    pour que nous puissions rendre un culte au Dieu vivant.
    Voilà pourquoi il est le médiateur d’une alliance nouvelle,
    d’un testament nouveau :
    puisque sa mort a permis le rachat des transgressions
    commises sous le premier Testament,
    ceux qui sont appelés
    peuvent recevoir l’héritage éternel jadis promis.

    – Parole du Seigneur.

  4. Sion, célèbre ton Sauveur,
    chante ton chef et ton pasteur
         par des hymnes et des chants.

    Tant que tu peux, tu dois oser,
    car il dépasse tes louanges,
         tu ne peux trop le louer.

    Le Pain vivant, le Pain de vie,
    il est aujourd’hui proposé
         comme objet de tes louanges.

    Au repas sacré de la Cène,
    il est bien vrai qu’il fut donné
         au groupe des douze frères.

    Louons-le
    à voix pleine et forte,
    que soit joyeuse et rayonnante
         l’allégresse de nos cœurs !

    C’est en effet la journée solennelle
    où nous fêtons de ce banquet divin
         la première institution.

    À ce banquet du nouveau Roi,
    la Pâque de la Loi nouvelle
         met fin à la Pâque ancienne.

    L’ordre ancien le cède au nouveau,
    la réalité chasse l’ombre,
         et la lumière, la nuit.

    Ce que fit le Christ à la Cène,
    il ordonna qu’en sa mémoire
         nous le fassions après lui.

    Instruits par son précepte saint,
    nous consacrons le pain, le vin,
         en victime de salut.

    C’est un dogme pour les chrétiens
    que le pain se change en son corps,
         que le vin devient son sang.

    Ce qu’on ne peut comprendre et voir,
    notre foi ose l’affirmer,
         hors des lois de la nature.

    L’une et l’autre de ces espèces,
    qui ne sont que de purs signes,
         voilent un réel divin.

    Sa chair nourrit, son sang abreuve,
    mais le Christ tout entier demeure
         sous chacune des espèces.

    On le reçoit sans le briser,
    le rompre ni le diviser ;
         il est reçu tout entier.

    Qu’un seul ou mille communient,
    il se donne à l’un comme aux autres,
         il nourrit sans disparaître.

    Bons et mauvais le consomment,
    mais pour un sort bien différent,
         pour la vie ou pour la mort.

    Mort des pécheurs, vie pour les justes ;
    vois : ils prennent pareillement ;
         quel résultat différent !

    Si l’on divise les espèces,
    n’hésite pas, mais souviens-toi
    qu’il est présent dans un fragment
         aussi bien que dans le tout.

    Le signe seul est partagé,
    le Christ n’est en rien divisé,
    ni sa taille ni son état
         n’ont en rien diminué.

    * Le voici, le pain des anges,
    il est le pain de l’homme en route,
    le vrai pain des enfants de Dieu,
         qu’on ne peut jeter aux chiens.

    D’avance il fut annoncé
    par Isaac en sacrifice,
    par l’agneau pascal immolé,
         par la manne de nos pères.

    Ô bon Pasteur, notre vrai pain,
    ô Jésus, aie pitié de nous,
    nourris-nous et protège-nous,
    fais-nous voir les biens éternels
         dans la terre des vivants.

    Toi qui sais tout et qui peux tout,
    toi qui sur terre nous nourris,
    conduis-nous au banquet du ciel
    et donne-nous ton héritage,
         en compagnie de tes saints.

    Amen.

  5. Acclamation : (Jn 6, 51)

    Alléluia. Alléluia.
    Moi, je suis le pain vivant qui est descendu du ciel,
    dit le Seigneur ;
    si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement.
    Alléluia.

    Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

    Le premier jour de la fête des pains sans levain,
    où l’on immolait l’agneau pascal,
    les disciples de Jésus lui disent :
    « Où veux-tu que nous allions faire les préparatifs
    pour que tu manges la Pâque ? »
    Il envoie deux de ses disciples en leur disant :
    « Allez à la ville ;
    un homme portant une cruche d’eau
    viendra à votre rencontre.
    Suivez-le,
    et là où il entrera, dites au propriétaire :
    “Le Maître te fait dire :
    Où est la salle
    où je pourrai manger la Pâque avec mes disciples ?”
    Il vous indiquera, à l’étage,
    une grande pièce aménagée et prête pour un repas.
    Faites-y pour nous les préparatifs. »
    Les disciples partirent, allèrent à la ville ;
    ils trouvèrent tout comme Jésus leur avait dit,
    et ils préparèrent la Pâque.

    Pendant le repas,
    Jésus, ayant pris du pain
    et prononcé la bénédiction,
    le rompit, le leur donna,
    et dit :
    « Prenez, ceci est mon corps. »
    Puis, ayant pris une coupe
    et ayant rendu grâce,
    il la leur donna,
    et ils en burent tous.
    Et il leur dit :
    « Ceci est mon sang,
    le sang de l’Alliance,
    versé pour la multitude.
    Amen, je vous le dis :
    je ne boirai plus du fruit de la vigne,
    jusqu’au jour où je le boirai, nouveau,
    dans le royaume de Dieu. »

    Après avoir chanté les psaumes,
    ils partirent pour le mont des Oliviers.

    – Acclamons la Parole de Dieu.

 


 

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